Le CII souligne le pouvoir de l'éducation pour les orphelines qu'il soutient à l'occasion de la journée internationale de la fille des Nations Unies

Cette année, le thème de la Journée internationale de la fille est « La vision des filles pour l'avenir », exprimant la nécessité d'une action urgente et d'un espoir persistant, porté par le pouvoir de la voix des filles et leur vision de l'avenir.

Le Fonds pour l'éducation des fillettes (GCEF) du CII a été créé en 2005 pour soutenir l'accès à l'éducation des filles orphelines d'infirmières dans les pays en développement.

En accord avec le thème d'aujourd'hui, nous avons invité certaines des filles dont la scolarité est soutenue par le GCEF, à nous parler de leurs espoirs pour l'avenir.

Les photos des jeunes filles, dont certaines sont visibles ci-dessous, témoignent de leur joie de vivre et de leur espoir d'un avenir meilleur pour le monde entier.

Aleksandra Kamilindi, chef de projet du CII pour le GCEF, a déclaré : « Notre objectif, comme toujours, est de souligner le rôle et la valeur de l'éducation des filles, soutenue par le GCEF, pour transformer leurs rêves en réalité. En exposant les œuvres des filles, nous espérons sensibiliser au programme et encourager le soutien à l'éducation des filles partout dans le monde. »

Voici quelques-uns des commentaires que les filles ont écrit sur leurs photos :

Lorsque je me rends à l'hôpital, je suis toujours inspirée par l'attitude accueillante et la gentillesse des infirmières à l'égard des malades et des membres sans défense de notre société. J'admire également leur propreté et leur ordre. Cela me fait réaliser et sentir que c'est là que je serais le mieux dans ma carrière. Cela me rend heureuse et me donne envie de leur ressembler.

Ma vision de l'avenir est celle d'un monde sain et pacifique. Des aliments et des fruits sains, de l'eau propre, la liberté de culte. L'amour, la paix et l'unité.

Quand j'aurai fini l'école, j’aimerais devenir médecin pour tous. J'aimerais soigner les gens et les faire sourire. Quand je serai grande, je veux m'assurer que même les personnes âgées sont en sécurité et qu'on s'occupe bien d'elles. J'aimerais construire un endroit où les personnes âgées sans famille pourront rester et être en sécurité.

Quand je serai grande, je veux être enseignante parce que je veux façonner l'avenir des enfants. L'enseignement permet de nourrir de jeunes esprits et d'inspirer des générations. J'aime travailler avec les jeunes et je souhaite avoir une influence positive sur la vie des gens et améliorer leurs capacités de leadership.

J'aspire à devenir pilote à l'avenir. Je peux aider la société en secourant les gens dans les inondations, en transportant des personnes et des marchandises. Je souhaite vivre dans un monde pacifique et discipliné.

Pour éclairer la communauté, les filles doivent bénéficier d'une éducation de qualité. Je veux devenir infirmière.

e rêve de devenir auteur. C'est un honneur et un privilège de vous écrire car cela a toujours été mon rêve. Atteindre un public avec audace, partager mes objectifs et mes ambitions, et inspirer les jeunes en leur donnant un aperçu de la dynamique de nos sociétés actuelles.

L'éducation, c'est le pouvoir. Ensemble, nous pouvons !

Le GCEF aide les filles à aller à l'école dans quatre pays africains - Eswatini (Swaziland), Kenya, Ouganda et Zambie - et les aide à mener une vie épanouie et réussie.

Depuis sa création, plus de 420 filles ont bénéficié du programme, et à ce jour, plus de 300 d'entre elles ont obtenu leur diplôme d'études secondaires.

Actuellement, 78 filles bénéficient de l'aide du fonds pour un coût moyen de 1 500 dollars américains par fille, ce qui permet de payer leurs frais de scolarité, leurs uniformes, leurs chaussures et leurs livres.

Pour en savoir plus ou faire un don au Fonds pour l'éducation des fillettes du CII, veuillez cliquer ici.

Pour en savoir plus sur l'impact du GCEF, veuillez lire le rapport d' activité 2023.

En 2011, l'Assemblée générale des Nations Unies a déclaré le 11 octobre journée internationale de la fille afin de reconnaître les droits des filles et les défis uniques auxquels elles sont confrontées dans le monde, de promouvoir leur autonomisation et la réalisation de leurs droits fondamentaux.